Notre mental Veut.
La paix Divine accueille.
Quand le mental veut, il ne voit pas le bonheur.
Quand je veux atteindre une chose, je manque de comprendre
la réalité divine de complétude, qui doit être mon seul objectif.
Le mental veut même des choses pour atteindre des choses
qu’il veut. Il veut pour ensuite vouloir. Il veut de l’argent, pour atteindre
un nouveau salon, pour atteindre plus confort, pour atteindre plus de
faire-valoir, pour atteindre plus de satisfaction, pour atteindre le mental des
amis, et ainsi de suite.
Est-ce que ce n’est pas déjà évident que nous allons avoir
tout ce que nous voulons ? Cela fait partie des lois spirituelles.
Quand nous faisons une tâche facile, est-ce que nous nous
angoissons de savoir si nous allons obtenir le résultat voulu. Nous n’y pensons
même pas. Quand nous disons : « je fais un gâteau pour ce
soir », nous n’avons pas sorti les œufs du réfrigérateur, que nous
considérons pour acquis que nous aurons du gâteau, au dessert ce soir.
Nous faisons une différence entre grand et petit objectif,
facile et difficile, mais cela ne procède que de notre pensée. L’Unité divine
ne s’embarrasse pas d’un étiquetage des objectifs et d’un échelonnage de
faisabilité. C’est acquis quand le germe dans notre pensée est une
certitude : je n’ai pas l’ombre d’un doute que j’obtiendrai le gâteau que
je conçois en ma pensée.
Maintenant, je
souhaite obtenir un emploi. Dès que j’ai cette idée, elle est accompagnée de
pensées concernant ma grande liste de qualifications, et du nombre croissant de
postes vacants dans mon secteur. Je crois fermement que je fais un travail qui
est très recherché, qu’il me suffit de postuler pour obtenir l’emploi que je
souhaite, aux conditions qui me conviennent. A peine j’émets l’idée, que j’ai
en moi la réalisation de cette idée.
Mais je peux émettre : « je souhaite obtenir un
emploi », et accompagner mon idée de difficultés économiques, d’inquiétude
sur mon âge, sur la garderie pour les enfants, sur ma valeur. De la même façon,
si j’ai envie de faire un gâteau, et que je commence par me demander si j’ai
assez de chocolat, si je vais retrouver ma recette, et qu’en plus je me
souviens que la dernière fois mon gâteau était brûlé… il se peut que j’obtienne
un résultat peu alléchant ou que je renonce à mon projet. Ainsi, le gâteau rêvé
ne dépend pas de la quantité d’obstacles, de la faisabilité, ou de la réalité
de mes talents pâtissiers. Tout autant, ma vie professionnelle n’est pas
dépendante de conditions mais plutôt de la façon dont je me vois, dont j’envisage
la vie et de ma capacité à dépasser mes préconceptions. La réalisation de mes
projets dépend de la foi, que je place, en l’obtention réelle de ce qui naît
dans mon idée.
Toutes les objections que nous formulons à la naissance
d’une idée, sont aussi des idées. Si nous alimentons, de par nos croyances, nos
idées limitantes, alors, la loi universelle fonctionne et nous obtenons la
concrétisation de nos impossibilités.
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